ENFANCE
Les jeunes sorciers de la ville bénéficient d’une éducation stricte dès leur plus jeune âge. En plus de l’apprentissage de la langue, des mathématiques et autres matières élémentaires qui sont aussi le propre des moldus, les jeunes habitants de Salem se doivent de posséder de solides connaissances en histoire de la magie. S’ils ne peuvent encore faire usage de la magie en raison de leur jeune âge, ils bénéficient toutefois d’un environnement propice au développement de leurs dons : vivant au cœur d’une ville peuplée de sorciers, ils ont plus de facilités que les autres à exercer naturellement la magie une fois en âge de le faire. Les jeunes sorciers sont regroupés dans une école basique du centre ville, sans chaudron ni baguette, avec pour objectif principal… d’apprendre à lire et à écrire. Comme tous les enfants scolarisés, en somme, à la différence près qu’ici, les manuels ne parlent que de choses concernant le monde magique.



ÉCOLE DE MAGIE
A l’âge de douze ans, les sorciers de Salem côtoient les sorciers d’origine moldue pour la première fois. Ensemble, ils intègrent une école construite en bordure de la ville : l’institut magique Bethsabée Sherman, du nom de sa fondatrice, l’une des accusées de Salem, en 1692. Les cours prennent fin huit ans plus tard, validés par un diplôme de fin d’études, le finem (fin, en latin).

Les élèves sont répartis en trois groupes, dès le début de leur scolarité. Les instruits, les vigoureux et les affables. Selon la qualité qui prime au plus profond de leur être. Les instruits seront destinés aux carrières administratives ou médicales, comptant également comme la future élite au sein du ministère. Les vigoureux, plus athlétiques, seront les futurs joueurs vedettes de demain, mais aussi les futurs aurors, briseurs de sorts… Ceux dont l’endurance n’est plus à prouver. Quant aux affables, connus pour être les plus sociables, ils feront d’excellents commerçants ou de brillants professeurs… Les qualités des étudiants ainsi mises en avant, chacun met l’accent sur les matières qui leur seront les plus utiles une fois adultes. A l’institut, on a retenu les leçons du passé : l’école ne mise pas sur la théorie, et est depuis longtemps passée à la pratique.